Depuis quelques temps fleurissent des blagues sur les "blondes", "copines" en canadien qui sont sensées être dotées de carences intellectuelles majeures selon ces histoires qui nous viennent du Canada justement, vérifions.
La rédaction

Comment rend-on une blonde folle ?
Donnez-lui un sac de M&M's et dîtes-lui de les classer par ordre alphabétique.

Qu'est-ce qui fait "Vroom, screech, vroom, screech, vroom, screech..." ?
Une blonde qui traverse un feu rouge clignotant.

Est-ce que vous savez pourquoi une blonde a été licenciée de l'usine de M&M's ?
Elle jetait les "W".

Comment meurt une cellule cérébrale d'une blonde ?
Très seule.

Le 6 octobre 1922 : Naissance de Marc dans le petit village de Vindieu-la-belle-Église dans la Creuse. Il prétendra toute sa vie être né à Paris.
Le 15 décembre 1924 : Marc apprend la physique nucléaire par des cours accélérés donné par les plus grands savants de l'époque.
Le 7 septembre 1935 : Marc devient recteur de l'Académie des sciences exactes de Trifouillis-les-deux-églises.
Le 31 mai 1998 : Marc épouse en cinquièmes noces Anne-Marie. Les photos du mariage sont vendues 55000 francs à "Voici".
Le 9 octobre : Marc qui n'était jusque là que comte de la demie-journée devient prince de la nuit. Il n'est pas le seul.

Nous sommes allés interwiever Marc Auroyer dans sa somptueuse propriété de 126 pièces, les arpents verts, à Jérusalem.
Le rédacteur en chef

Amaury Watremez : Marc Auroyer, vous êtes nés en 1922, un 6 octobre. Quel temps faisait-il ?
Marc Auroyer : Il faisait 35 degrés, un temps exceptionnel et radieux. Mon père, Honoré de Fleury était ministre des affaires étrangères.
A W : Vous ne faîtes pas du tout votre âge.
M A : Oh, la chirurgie esthétique arrange bien les choses de nos jours, vous savez.
A W : Est-il vrai que c'est vous qui avez initié le projet Los Alamos pour la construction de la première bombe atomique en 1943 ?
M A : En effet, Albert était très jaloux de moi.
A W : Albert ?
M A : Einstein bien sûr ?
A W : On vous retrouve en 1963 comme conseiller secret du président Kennedy dans l'affaire des missiles de la baie des cochons.
M A : Je préfère garder le silence sur ce sujet.
A W : Il paraît que vous parlez vingt-trois langues.
M A : J'ai toujours eu un don pour communiquer avec les autres.
A W : Est-il vrai que Ehoud Barak vous a contacté pour terminer le processus de paix ?
M A : Tout à fait ! Mais je ne préfère ne rien en dire encore.
A W : Je terminerai cet interviou en vous remerciant. Marc Auroyer Merci.

de notre correspondant de guerre
Nous pensions que les hostilités s'étaient apaisées mais il n'en était rien. Voici la la chronique de la suite des évènements.
Le 23 : Un complice, qui devrat avoir honte mais qui est sans scrupules, apporte un gros cigare à Marc devant son épouse. Anne-Marie déclare : " Nous avons perdu une bataille mais nous n'avons perdu la guerre".
Le 26 : Un paquet de ViceRoy, qui s'était approché trop près des lignes ennemies, se retrouve prestement plié en quatre pour finir à la poubelle. La situation est grave, c'était une partie des réserves.
Le 27 : Un complice est venu regarder la télévision à Saint Louis, Marc fait semblant de lui offrir une cigarette. L'autre refuse : "Non merci, je ne fume pas". Pour ne pas la "gâcher", Marc la fume à sa place. C'est une guerre d'escarmouches.
Le 1 : Il fait 10 degrés ce soir-là, le ventilateur marche au maximum dans l'appartement du 5 rue Shivtei, Marc doit trouver sans cesse de nouvelles parades.
Le 3 : La situation est grave, le passeur habituel des cigarettes n'est pas passé. Marc doit se poser la question de la création d'un pont aérien depuis la France. Il semblerait qu'un jeune ecclésiastique anonyme y soit mêlé.

...Voilà, nous vous tiendrons au courant de la suite des événements.
Amaury Watremez